Nouvelle rencontre avec Monsieur. Une semaine c'est écoulée, mais qu'elle était longue...
par où commencer ce récit, comment ordonner mes propos ? je suis encore sur mon petit nuage.
Tout d'abord, on a bu un verre en discutant. Puis, Monsieur à voulu que le prenne dans ma bouche. Je pense qu'il y a encore du chemin à faire, mais je crois que je m'améliore. j'arrive à le prendre plus loin, même, si cela m'est parfois difficile. et je l'ai même gouté. Même si c'est bien loin de ce que j'espère un jour, pour lui et moi... "tout vient à point à qui sait attendre" non ? ou alors "doucement mais surement" aussi ;)
Ensuite, vint le moment de ma punition. j'ai été cherché la cravache sur le lit. je ne sais pas si cela c'est vu, mais mes mains tremblaient un peu lorsque je la tenais. j'étais sure que je ne résisterai pas. je me suis mise en position, en essayant de me détendre un maximum, mais cela m'était plutot difficile, tiraillée entre excitation et crainte que j'étais...
Monsieur, à voulu que je compte. cela ne me dérange pas, si ce n'est que ca m'empeche peut être un peu de "partir". Les premiers coups, m'ont fait assez mal, les derniers aussi d'ailleur ;) Cependant, je n'ai pas crier, ni pleurer, ni bouger, comme je m'attendais à le faire. Je pense que Monsieur, a quand même mesurer un peu ses coups. Moralité, je suis partagée entre "si je n'ai pas crier c'est que c'était pas assez fort" (en même temps, si j'ai le fantasme de crier un jour, je crois que je n'aimerai pas), et... "c'était déjà assez fort comme ca, et je n'aurai peut être pas supporter plus" (parfois il fallait même que je reprenne mon souffre avant de donner le compte)... ? qui sait ?
En tous les cas, il est certain que ma préférence pour le martinet est maintenant certaine. la cravache est un instrument plus brutal et moins sensuel... mais... je l'aime aussi, moins, mais elle me manquerait si elle disparaissait...! Une chose aussi que je lui repproche, c'est qu'elle fait des bleus et pas, de jolies zébrures rouges...
en quelques coups (16)...
juste après
au matin, forcément, c'est... Le Grand Bleu ! (est ce que j'ai les fesses doulouses, et est ce que je choisis des surfaces moelleuses pour les poser doucement... oui, j'avoue, et j'aime assez l'idée de garder des traces... de lui, de ces moments ;) )
Nous avons passé, une très bonne fin de soirée, et une excellente nuit. j'aime beaucoup m'endormir auprès de lui. j'aime entendre sa respiration qui couvre la mienne, qui me berce...
ce matin au réveil... J'ai prit Monsieur en bouche, est essayant de faire de mon mieux. Il souhaitait que le léche son anus, ce que j'ai fait, du mieux que je pouvais aussi, parce que la cravache sur mes fesses, m'aurait fait sauter au plafond pour de vrai... mais, il a eu l'air assez satisfait. Ensuite, je l'ai pénétré d'un doigt. j'avais peur de lui faire mal, et je ne savais pas trop comment faire. c'était une impression étrange, mais pas désagréable. et Monsieur, avait l'air content.
Monsieur a essayé de me sodomiser, mais... je suis vraiment trop étroite, et, il n'a pas réussit. Je n'y peux rien dès que je sais où que je sens qu'on en vient là, je me tend, et je me contracte empêchant tout passage. Pourtant, j'ai moi même donner mon accord à Monsieur, pour essayer. Il n'a pas essayer de me forcer, et pourtant, je me contractais encore. Il l'a vu, m'a demandé si j'avais peur, et j'ai du avouer que oui, que j'avais peur d'avoir mal. Monsieur, a arrêter. je l'en remercie. Mais... y arriverai je un jour ? pourquoi avec moi ca ne marche pas ?
Nous avons été faire quelques courses en ville. Qu'il est plaisant de marcher à ses cotés. De ne pas être cachée. Et de partager des petits moments hors Ds... Je suis fière d'être prêt de lui.
Après avoir reprit Monsieur en bouche, il me demande ce que je souhaite. Je lui propose alors de me prendre en position de soumission, ce qu'il fait. Et... c'était délicieux ! j'adore ca !
Il me dit qu'il est à mes ordres, de lui dire ce que je veux... c'est une impression étrange, "à mes ordres", je me sens toute perdue. qu'est ce que je veux ? Il me faut réfléchir, parce que normalement, ce n'est pas à moi de décider de ce que je souhaite... mais, je ne réfléchis pas bien longtemps. c'est lui que je veux, lui avec ses multiples filles... le Martinet. Monsieur me demande où je le veux ? j'avoue que je n'ai pas eu le culot d'oser dire sur les fesses... mais dans le dos oui.
j'aime assez dans les reins aussi, mais dans le dos également. Monsieur commence doucement, mais amplifie le geste. Cela commence à être douloureux. mais cela commence à être bon. Lorsque je sens quelque chose en moi qui "craque", et qui s'abandonne... qui ne lutte plus contre la douleur, qui la laisse juste m'envahir.
Monsieur me demande si je supporte sur les seins... à vrai dire, je ne sais pas trop, je n'ai jamais eu l'occasion de le savoir. je me place dos au mur, mains sur la tête et attends, Monsieur. je dois dire que c'est surprenant, peut être moins douloureux que ce à quoi je m'attendais, mais quand même plus que les fesses ou le dos. c'est plus sensible. Sur les derniers coups, je me retenais de ne pas gémir. sur les seins, cela me fait mal, mais ne me fait pas complètement "décoller".
Monsieur demande si je supporte sur le sexe. là, je crois que non, mais je veux tout de même essayer. C'est déjà limite supportable à l'intérieur des cuisses, mais sur le sexe... c'est très dur. Monsieur donne quelques coups. jusqu'à ce que je ferme les cuisses dans un mouvement instinctif après l'un deux. Monsieur arrête.
Je le prend un peu en bouche, le goute un peu. puis, Il me met la tête entre ses genoux, et se caresse en continuant de me fouetter le dos, jusqu'à ce qu'il jouisse, et que je sente sa semence comme apaisante sur mon dos tout fouetté.
J'ai des marques... petites. Elles sont parties peu de temps après, elles m'ont quitté. On a même pas prit mes marques sur les seins et les cuisses, elles étaient presque inexistantes. Mais, même dans le dos, j'imaginais de grandes marques, au vu de la douleur, et de la force des coups mais... (soit, je marque facilement et c'est des gros bleus, soit, les marques ne dures pas...)
Je dois dire qu'en ce qui concerne la douleur, je m' étonne un peu moi même. Biensur, je suis encore une petite joueuse par rapport à d'autre, mais... je ne pensais pas supporter autant. Les seules fois où j'ai connu le martinet, j'avais aimé, cela me stimulais, mais ne me fesait pas réellement mal. La ca me fait mal, même parfois, très mal, et pourtant, non seulement, je supporte (parce que je veux me dépasser moi même, et supporter pour supporter, en quelque sorte) mais en plus, j'y prend une forme de plaisir. Comme je l'ai dit, cela m'étonnerai qu'un jour je jouisse sous le martinet ou la cravache, mais... j'aime l'impact, puis la brûlure qui reste, puis l'apaisement qui m'envahit lorsque cela s'arrête. apaisement, proportionnel à l'amplitude des coups.
et lorsque je me sens partir... j'ai l'impression de m'envoler. Je ressens alors les coups, mais... de facon plus distante. Ils m'enivrent... c'est ca que j'aime. je me laisse aller, je m'ouvre à la douleur, et je plane. c'est ca que j'aime, et lorsque cela s'arrête, je me sens détendue, apaisée, satisaite... comme après un orgasme presque ! cela dit... je ne "pars" pas à chaque fois à ce point là.
Merci Monsieur, de me faire découvrir tout cela. Merci de me donner tout cela. J'espère que vous avez passé une soirée aussi agréable que la mienne. Un jour, je serais en mesure de vous satisfaire totalement...
Le week end prochain, je travaille. Je ne vous verrai pas. Vous allez me manquer... (mais mes fesses auront le temps de retrouver leur couleur normale ;) )
PS : je suppose qu'après le bleu que j'ai sur les fesses, plus personne ne doutera de la "réalité" dont j'ai besoin, et que les commentaires médisants de certains me taxant de "fantasmeuse" n'auront plus lieu d'être. Je n'étais pas "fantasmeuse", juste... sans expérience, et sans personne pour m'en donner.