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Vendredi 12 décembre 5 12 /12 /Déc 15:00

Hier soir, Monsieur, m’avait interdit de me donner du plaisir. J’ai difficilement obéi mais quand même, j’ai été sage.

 

Cela dit, cette nuit, mon inconscient a débordé sa frustration au cours d’un rêve, hum…

 

Je suçais Monsieur, puis celui ci, fit l’amour à ma bouche, en y allant lui même de son mouvement. Cela est assez difficile pour moi, car j’ai vite des hauts le cœur si cela va trop loin. Pourtant Monsieur, continue, quelque fois, il reste au fond de ma gorge, pendant quelques secondes. J’aime me sentir son objet. Monsieur se fait plaisir dans ma bouche jusqu’à ce que des larmes coulent le long de mes joues. Là, il s’arrête, me regarde me caresse le visage, et me dit qu’il est contente de moi, et que pour me récompenser, j’aurai le droit de me faire jouir.

Je suis donc allongée sur le dos, et je me fais plaisir avec mon petit vibromasseur à clitoris et mon gode. Monsieur est debout, le pied sur mon cou. Il n’appuie pas trop, mais assez pour que je sente une pression. Cependant, je n’arrive pas à me faire jouir, en tout cas, j’y met du temps, parce qu’il me regarde. Il me prend alors par les cheveux, et me met en position de soumission, et il me dit qu’il va finir de me faire plaisir. Il empoigne alors mon gode et me pénètre très fort et très rapidement, je ne met pas longtemps à arriver au bord de la jouissance, Monsieur le sait, et s’arrête net. J’en ai presque mal de frustration. Monsieur me reprend ainsi, et j’en suis reconnaissante, je me sens en feu, je n’en peux plus. Mais, encore une fois Monsieur recommence à ne pas me laisser jouir. Et il recommence ainsi encore deux fois, jusqu’à ce que je le supplie de me permettre de jouir. Monsieur s’amuse que je le supplie ainsi pour une telle chose, il me dit qu’alors, il va me faire jouire comme une chienne, la chienne que je suis, la sienne.  Alors, il me reprend une dernière fois, sauvagement, mais, il me dit que j’ai intérêt à ne pas faire un bruit, il sait que cela m’excite, de ne pas avoir le droit de faire du bruit, car cela m’objectalise. Ma frustration et mon humiliation m’achève, je ne peux plus me contenir, et lorsque j’explose, je gémis de satisfaction (même si j’ai fait l’effort de ne pas crier).

 

Monsieur me fait la réflexion que je n’ai pas obéis, il me tire alors par ma laisse jusque la table et m’y colle le torse. Il me bâillonne, ainsi, cette fois ci je respecterai son ordre, dit il ?

Il prend la canne pour me punir. Quelques coups gentils, qui fouette à peine, puis qui prennent de l’ampleur, et j’ai l’impression que la canne me coupe carrément la peau. J’ai vraiment très mal. Je cri un peu, même à travers le bandeau. Monsieur, frappe maintenant, sans presque plus se retenir. Le seul effort qu’il me reste est celui de ne pas bouger, ce qui est très difficile, car maintenant, j’ai envie de me défiler après chaque coup. Monsieur m’enlève le bâillon en me disait qu’il veut m’entendre crier, mais que je commence à trop bouger (je ne m’en étais même pas rendu compte) alors qu’il va donc m’attacher. Et je suis là les mains attachées à l’autre bout de la table, la croupe offerte aux assauts de la cane. Monsieur frappe encore quelques coups, et je crie ouvertement maintenant, les larmes commencent à perler à mes yeux. Monsieur cesse. Il me détache, me relève, j’ai l’impression que ma peau est déchirée, je la touche, cela est très sensible, mais non, il n’y a pas de sang. Monsieur me prend le menton dans les mains, essuie mes larmes, et m’embrasse, comme pour montrer que la punition est finie, qu’il est fier de moi, qu’il m’aime.

            Je me jette alors aux pieds de Monsieur, je pose ma joue sur eux, et m’y caresse doucement le visage, en le remerciant de s’occuper de moi, de me dominer, de m’aimer.

 

 

Aujourd’hui, j’ai le droit de prendre du plaisir autant que je veux, mais samedi, je n’ai pas du tout le droit de jouir (ça va être dur, mais j’aime être frustrée pour lui). Dimanche, cela reste à voir. Il décidera plus tard. D’un coté, je me dis qu’après une journée sans jouir, j’aimerai beaucoup qu’il me dise oui, je me sentirais soulagée, et en même temps, j’aimerai qu’il me dise non, pour me sentir plus frustrée (même si je suis pas sure de pouvoir obéir, même si j’essaye vraiment), de me sentir plus sous son contrôle, plus à lui.
Par Eva - Publié dans : Journal
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Jeudi 11 décembre 4 11 /12 /Déc 15:55

source de l'article : http://maitredesjeux.canalblog.com/archives/2006/05/17/1895652.html

La canne est un excellent instrument pour administrer un châtiment corporel. Elle est généralement en rotin et mesure 1m à 1.20m de longueur avec des diamètres variables. La canne est très flexible et légère et son emploi est relativement discret.

Un caning doit toujours être administré sur les fesses nues. Assurez-vous que vous disposez de suffisamment d’espace autour de vous pour l’élan du coup. Le mouvement du poignet est important compte tenu de l’énergie cinétique causée par la flexibilité de la canne. Si l’extrémité de la canne n’entre pas en contact direct avec le fessier, il s’enroulera et le blessera. Il est donc essentiel que le bout de la canne atterrisse sur la partie ciblée lorsque vous frappez.

Normalement, la zone à atteindre inclut les fesses et le haut des cuisses. La douleur est intense si le creux formé entre la fesse et le haut de la cuisse est visé. Lorsque la canne est appliquée avec la force adéquate, une marque blanche se forme immédiatement sur la fesse. La marque rougira dans les 30 à 45 secondes.

 

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Contrairement aux autres instruments utilisés dans les punitions, la douleur ressentie s’intensifie dans les 30 à 45 secondes qui suivent le coup. La sensation est en général double. L'impact initial provoque une sévère douleur dûe à la compression du muscle. Puis suit l'expansion du muscle qui irradie la douleur sur une surface plus étendue. C’est pourquoi il est préférable d’attendre ce délai de 30 à 45 secondes entre chaque frappe afin de permettre la complète propagation de la douleur de l’impact précédent.

Au bout d’un moment, et selon la force employée pour frapper, la couleur des traces deviendra plus foncée et les marques apparaîtront. Ces marques s’estomperont au bout de quelques jours voire une semaine. Un caning réussi montrera une série de lignes parallèles allant du milieu des fesses au haut des cuisses. Si vous frappez une marque faite auparavant, un hématome en forme de diamant apparaîtra à l’intersection. Ces marques sont profondes et durent plus longtemps.
Si vous avez coupé la peau, veillez à ne pas vous servir de la même canne sur une autre personne sans l’avoir auparavant désinfectée.

On peut demander à la personne subissant la canne de se pencher et d’attraper ses chevilles ou toucher ses doigts de pied, ou bien de se pencher sur un lit, une table ou un meuble sur lequel elle peut reposer le torse.

Il existe différentes techniques pour réaliser un bon caning.
La méthode anglaise consiste comme il a été mentionné ci-dessus à frapper à intervalles réguliers et laisser des marques parallèles sur les fesses.
La méthode américaine est différente. La ‘victime’ est le plus souvent allongée sur un lit et la personne dominante s’assied sur le côté, frappant simultanément et parallèlement deux cannes de même diamètre. Le début ressemble à une lent massage, les deux cannes étant maniées en rythme. Peu à peu l’intensité augmente en même temps que les endorphines se réveillent. Ces séances durent en général longtemps, la douleur étant très progressive. Au bout d’un moment, vous pouvez utiliser des cannes de plus gros diamètre et terminer avec des cannes de diamètre allant jusqu’à 2 ou 3 cm. Ce genre de cannes provoque des vibrations dans les organes sexuels si utilisées dans la partie inférieure de la fesse et mènent souvent la victime à l’orgasme.

Veillez à ne jamais frapper au dessus de la moitié supérieure de la fesse et bien entendu jamais sur les reins ni sur la colonne vertébrale. Vous risqueriez de provoquer une lésion irréversible des reins ou des fêlures de la colonne.



voilà, les marques que l'on peut avoir avec cet instrument, je dois dire que cela fascine une partie de moi (celle qui aime regarder des traits rouges dans son miroir) et que ca stupéfait et terrifie l'autre partie de moi. Cependant, je ne résite pas à posté quelques photos post caning (les photos viennent du site fesses rouges : http://fesrouge.org/)

encore "gentil"
Plus sévère
carrément hard...
Par Eva - Publié dans : Journal
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Mercredi 10 décembre 3 10 /12 /Déc 15:58
Je rebondis sur un sujet proposé sur eavp, qui met en lien un article d'Aurora, que vous pouvez trouver ici :
http://auroraweblog.karmaos.com/post/922

Ce n'est pas tant l'article d'Aurora auquel je vais répondre, car elle n'a fait que replacer ce bijoux dans son contexte littéraire, mais c'est surtout aux commentateurs que je voudrais répondre.

Cette bague est portée par des filles qui ne savent pas ce quelle représente. C'est faut, lorsque j'aurai recu la mienne, je sais ce qu'elle signifie. J'ai lu histoire d'O. Je sais que "classiquement" elle signifie que je dois me donner à quiconque la porte également. c'est la signification première, je ne peux le nier.
Alors évidement, oui, la signification à changer. Je me permet d'enfoncer les portes ouvertes, mais la réalité de la vie, n'est pas un roman. les choses ne se calquent pas. Et effectivement, il doit y avoir peu de femme qui la porte, prête à assumer ce qu'assume O dans l'oeuvre littéraire. en sommes nous encore aux trucs débiles du style : chaine de cheville = lesbienne, oreille percée = homo ?
Personnellement, cette bague signifiera pour moi la soumission dont je peux faire preuve, mais également, cela signifiera un pas fait vers mon identité, vers ma connaissance de mes fantasmes et du fait que l'assume. Elle symbolise une sorte de "naissance de la femme en moi". N'importe quel bijoux aurait fait l'affaire me direz vous ? oui, mais j'ai choisit la bague d'O parce qu'elle se rattache à la D/s, et que c'est bien de cela qu'il s'agit pour moi.

Effet de mode alors ?
je ne sais pas. Peut être. Repproche t on "aux soumises à collier" (je reprend l'expression lamentable de quelqu'un d'autre) d'être dans un effet de mode parce qu'elle réclament un collier ? ou bien le collier est il quelque chose de tout à fait naturel dans le BDSM ?
Pour la bague d'O, je ne peux dire si cela est un effet de mode, mais, quand bien même que ce serait le cas... et alors ? si j'ai envie de suivre la mode BDSM où est le problème bon sang ? quelle différence avec acheté la dernière ligne de fringue de bénéton, ou changer de chaussure parce "qu'elles ne sont plus à la mode" ? allons Mesdames, soyez honnête, on aime avoir des choses à la mode !
Personnellement, cette bague n'est pas consciement choisit par effet de mode. elle est choisit pour le symbolisme qui lui est propre ou pour la signification que je veux bien lui donner. J'ai d'ailleur choisit de faire appel à un Artiste pour modeler cette bague, et de ne pas l'acheté sur un site BDSM...


Alors je peux comprendre les redresseurs de tords, qui pensent, et ce de façon bien péremtoire, que la bague d'O, ne devrait plus exister que pour les femmes prêtent à vivre comme O, mais un peu de tolérance pour celle qui lui portent une autre signification qui n'est pas moins forte, et même envers celles qui la porte sans savoir, juste parce qu'elle est jolie et à la mode ! Il faut de tout pour faire un monde quand même !
Par Eva - Publié dans : Journal
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Samedi 6 décembre 6 06 /12 /Déc 16:04

Hum... quel agréable soirée passée avec Monsieur.

Je suis arrivée... en retard, de 4 minutes. Décidément, je me perds toujours, il y a embranchement que je rate à chaque fois, et à 20h-20h30, il y a de la circulation en plus. Monsieur vient m'ouvrir, je m'attends à recevoir ma gifle (faisant partie d'une punition pour avoir jouis sans autorisation). Mais, non, je ne dis rien, on monte chez Monsieur.
Il me fait signe de me mettre à ses genoux. Et me fait remarquer, que je ne me suis pas excusée d'être en retard, mais qu'en plus, je devais recevoir une gifle que je n'ai pas réclamée...  il lève sa main, et par reflèxe je ferme les yeux. Il me demande si j'ai peur. non, je n'ai pas peur.  je recois donc deux gifles, et je me sens honteuse.

Monsieur m'offre son sexe en bouche. Décidément, j'ai encore des progrès à faire... j'espère ne pas trop être décevante.

Puis, je suis mise au coin. je me sens humiliée, et très bête. Monsieur me pose un livre sur la tête, que j'arrive à ne pas faire tomber, mais... Monsieur, est futé ;)  Il pose un rouleau de scotch sur le livre, et là, à la moindre oscillation du corps, il tombe, forcément. ce qui ne manqua pas de m'arriver bien évidement. Le plus dur, c'est que j'ai presque immédiatement eu des crampes, cela est très douloureux. Et en plus de cela, cela touche un degré d'humiliation assez sévère chez moi. Heureusement, Monsieur, dans sa bonté, ne m'a pas laissé trop longtemps ainsi. Cela dit, même si c'est dur, j'ai aimé, mais... c'est une punition, cela est certain.


Monsieur me demande ensuite de me déshabillé, et d'aller chercher sur le lit, ce qui m'attends pour ma punition. surprise : une ceinture !!! moi, qui était persuadée que ce serait la cravache. Je suis mi inquiète, mi curieuse. je prend position, le haut du corps sur la table, fesses offertes. Quelques caresses où je sens le cuir m'éfleurer, puis... un petit sifflement, et ca claque. C'est très différend du martinet, la douleur est plus unifiée, cela dit, ca s'en rapproche par la souplesse, et donc, cela s'éloigne de la cravache. C'est entre les deux, mais, c'est plus douloureux que le martinet.  Monsieur me demande combien de coups je pense pouvoir mériter. C'est une bonne question, je n'ai encore jamais eu à décider ce genre de choses, surtout dans le cadre d'une punition, et puis, je n'ai que peut d'expérience de la ceinture, alros comment savoir ? je répond "au minimum 10", c'est ce que je suis à peu près sure de supporter, et pour le reste, et bien je lui laisse choisir comme cela "je me mouille pas trop" dans mon appréciation. j'ai eu 11 coups au total. Monsieur a souhaité que je compte. Cela intensifie ma douleur, parce que je peux moins de détendre et me laisser aller... mais après tout, c'était une punition ;) La ceinture, est ce que je préfère après le martinet (biensur), il me semble.


Après vint l'heure de manger. je suis toujours nue, Monsieur toujours habillé. Je demande si je mets le peignoir pour manger où si je reste comme ca, il m'ordonne de rester nue, et d'aller sous la table. Je dois dire que faire plaisir à Monsieur de cette facon... ne manquait pas de m'exciter. Monsieur dinait, et moi, je "mangeais" Monsieur. Monsieur devait avoir un peu de plaisir ? ou bien, était il plutot concentré sur son repas ? En tous les cas, moi je me sentais vraiment utilisée, et... j'ai aimé cela. Lorsque Monsieur à finit son repas, il me sert dans une assiette qu'il pose par terre. J'ai donc diner comme dans une gamelle, le croupion en l'air. J'ai trouvé cela assez humiliant, mais très excitant. D'ailleur lorsque Monsieur a glissé ses doigts dans mon intimité, il a pu constater dans quel état cela m'avait mit ;)  Je mourrais d'envie de jouir ! Rien que d'écrire tout ca... ;)

Monsieur me fait traverser le couloir à quattre pattes en me tenant en laisse, puis m'attache les bras en l'air pour me fouetter. J'ai un peu peur, parce que la dernière fois que j'ai été dans cette position, je me suis sentie mal. Monsieur commence doucement, mais je recois quelques coups dans le dos qui me font tressailir, à la limite de crier. Puis, il me semble que Monsieur alterne, quelques coups de martinet, ou ou deux de cravache... j'aime l'alternance. c'est deux sensations vraiment différentes, et utilisées ensembles, elles se complètent assez bien. Monsieur cesse puis me propose une pause. J'ai eu à la fin, une montée de plaisir, je n'irai pas jusqu'à dire un orgasme, mais quelque chose de très libérateur, mais tellement rapide, que j'ai même du mal à m'en souvenir.


Après une bonne nuit... et quelques services rendus à Monsieur, nous partons faire les courses. Cela m'a plut d'avoir une activité "normale", enfin banale en tout cas" avec lui. Et puis, d'être auprès de lui à la vue des gens, même si biensur, ils n'imaginent pas ce qui se passe entre nous.
Ensuite, nous sommes allés nous promener dans le parc de l'abbaye. Il faisait bon, il y avait un peu de soleil, les oiseaux chantaient, on était ensembles, c'était très reposant, agréable.

Puis nous sommes rentrés, et Monsieur m'a cuisiner des "vrais" hamburgers. je n'avais toujours manger que ceux des fast foods, et bien, il n'y a rien semblable ! La texture et le gout du steak haché... en avais je déjà manger de meilleurs ? du vrai pain, un peu grillé et pas le truc sans gout et tout mou de chez mac do. c'était vraiment délicieux ! et puis... c'était cuisiné pour moi, par Monsieur, et ca fait plaisir ;)

Merci Monsieur, de ces "nouvelles premières fois", qui me plaisent toujours autant à chaque découverte ! et Merci du soin que vous prenez de moi en dehors du jeu, aussi. l'un ne va pas sans l'autre. J'espère vous satisfaire, et dans l'un... et dans l'autre ;)

Par Eva - Publié dans : Journal
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Jeudi 4 décembre 4 04 /12 /Déc 10:02
ce matin, je m'éveille dans mon lit, sous ma couette bien douillette. Je fais rentrer ma chienne qui me monte de dessus et s'étale de tout son long sur moi, pour me lécher le cou. Pendant le temps où j'essaye, en vain, de me rendormir, je pense à tout ce que j'ai à faire aujourd'hui : lit à fond, laver mes cheveux (puisque je pourrai pas le faire samedi matin), m'épiler pour être le plus lisse possible, ce qu'il ne faut pas que j'oublie pour vendredi/samedi...

je me dépêche donc de me lever quand même. Je ne m'habille pas, mais je met ma robe de chambre, car je me laverai les cheveux en remontant, je descends mes draps à secouer pour faire mon lit à fond.

Je crois ma mère qui me dit :
- "tiens tu fais ton lit ce matin, mais on est jeudi, on pas vendredi"

gros choc dans ma tête, Mer**, c'est vrai, elle a raison on est pas vendredi !!! j'ai tellement hate de retrouver Monsieur, que toute ma vie c'est avancer d 'un jour.

Mais non, non, non, Eva, on est jeudi, ne prend pas tes désirs pour des réalités...
Par Eva - Publié dans : Journal
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