Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:07

Rendez vous devant une Mairie, dans une ville inconnue.
Je ne suis pas très rassurée. J'ai même donné l'adresse de Monsieur (qu'il a bien gentiment proposer de me donner pour me tranquiliser) à mes parents et à une amie, au cas, où il n'y aurait plus de nouvelles de moi...

GPS, qui n'a plus de son, qui m'indique une rue qui n'existe pas... je tourne, je vire, passe et repasse au même endroit plusieurs fois. Je regarde l'heure, c'est pas possible que je vais être en retard, moi qui déteste ca, et arrive toujours en avance partout ! et Mer** !

Un homme m'indique bien correctement le chemin, je trouve le parking, mais où est la porte de cette mairie ?
Un message "te voilà"... Monsieur, m'a vu, mais où est il ? Je me retourne, et Il est là... Une bouffée de stresse me quitte. La crainte et l'excitation, ont réussi à me tenir dans état mi désagréable, mi désir pendant plusieurs jours déjà. Je me dis que maintenant, que je lui plaise ou pas, au moins, on est au moment où je le saurai...

Que fait on ? Comme si nous ne le savions pas depuis des jours ce que nous allions faire ?

Nous nous retrouvons chez Monsieur. Je suis tellement à coté de ce qui se passe, que j'ai roulé tout feux éteints sans même m'en rendre compte.

Et maintenant, que va t il se passer ? Qu'est ce qui va bien pouvoir m'arriver ? Biensur, Monsieur est au courant de ce que je ne souhaite surtout pas, il sait aussi ce que je ne connais pas et aimerait essayer.
Je ne peux m'empêcher de penser au moment où je me déshabillerai. Comment me trouvera t il ? Aura t il toujours envie de moi ? Moi, j'ai envie de lui, j'ai envie qu'il me domine, depuis que je l'ai vu. Monsieur, me propose de boire quelque chose. Je suis rassurée, cela me laissera le temps de tenter de me trouver une contenance quelconque, et de ne pas paraitre trop sotte.

 

Mais finallement nous discutons. J'essaie de suivre la discution, et me demande encore maintenant, comment j'arrive à me concentrer assez pour cela, même si je boierais littéralement ses paroles. Je me mesure les progrès que j'ai pu faire, depuis quelques années. Il n'y a pas si longtemps, j'aurai été aussi muette qu'une tombe, et très mal à l'aise.
La seule chose qui me rend mal à l'aise là, c'est : quand est ce que ca va commencer ? Car nous savons tous les deux, pourquoi je suis là...

Puis lorsque je me sens à l'aise, Monsieur me demande "veux tu être ma soumise ce soir ?" et là, je réfléchis  à ce que je vais répondre et à ce que ca implique, je prend le temps de dire "oui" comme si je ne l'avais jamais dit de ma vie. Il meprend la main, et la pose sur son sexe encore lové sous le pantalon. Puis, il y pose ma tête... je le caresse de mes joues, de mes mains. Je lui suis reconnaissante de me laisser ce temps d'adaptation, ni trop directe, mais suffisament quand même pour que je puisse me positionner dans la place que je tiendrais dans le jeu de rôle que l'on jouera ce soir. Mais, sans m'en rendre compte, je m'enflamme, j'en veux plus, et je commence à mordiller le pantalon. Comment puis je me trouver dans cet état là ? L'attraction irraisonné du sexe, existe t il chez les femmes de la même façon que chez les hommes ? Comment puis je être aussi peu farouche ! Mais "Attention de ne pas me faire mal" me dit Monsieur... et pourtant, je semble incapable de me raisonner, j'ai pourtant l'impression de faire attention... je reçois une claque sur la joue. Je comprend que je suis en train de fauter. Cela me remet à ma place, ce n'est pas parce que je suis excitée que je dois ne pas être à l'écoute de ce que Monsieur désire.

Monsieur libère son sexe du pantalon, puis de calecon. Je peux alors le caresser à mon aise, puis y mettre ma bouche. Pourvu que je fasse bien... je suce encore et encore, sentir ce sexe grossir dans ma bouche, ne me donne qu'une envie, de le prendre en moi... Monsieur, se caresse, pendant que je goutte ses bourses, les deux dans la bouche, et que je joue avec en les tournants avec ma langue.
Puis, Monsieur, claque des doigts, en me montrant le sol. Je m'agenouille donc à ses pieds, les yeux baissés. Il me demande si je vais bien, je répond que oui.
"tu est arrivée en retard"
"oui Monsieur"
"t'es tu excusée ?"
là... je me dis... oups... "Non, Monsieur"
" de combien de temps as tu été en retard"
là encore... oups "je ne sais pas, Monsieur"
"alors, non seulement tu arrives en retard, tu ne sais pas de combien de temps, et en plus, tu ne prend pas la peine de t'excuser ? que devrais je faire selon toi ?"
"je devrais être punie, Monsieur"
"alors installe toi sur mes genoux"

C'est la première fois que je vais être fessée. Cette position est terriblement humiliante. J'ai l'impression d'être une gamine, je me sens rabaissée. Monsieur me caresse les fesses, et claque une fois, chaque fesse. Cela me fait tressaillir, je ne pensais pas que ca claquerai si fort, une main. Monsieur s'arrête et me demande comment je me sens "je lui dit que j'ai honte"... "Honte de quoi ?"... "Honte d'être excitée Monsieur". Et Il claqe plusieurs fois chaque fesse, je ne me débat pas, mais c'est limite. Par uniquement douleur, ou honte surtout... je ne sais pas. Mais s'il y a pire comme douleur, au niveau humiliation, on peut difficiliment faire mieux...

Lorsque Monsieur finit de me fesser, cela n'a pas durer longtemps, mais je me sens les fesses brulantes. Il caresse mon entre jambe, et voit comme je suis mouillée...

Il me demande de me mettre en position de soumission afin de me prendre. Et quel soulagement de le sentir enfin en moi. Je le désirais tant, être remplie de lui. Puis, il se retire, et me laisse pantelante, de plaisir, de désir, encore...
Puis, il m'ordonne de ne pas bouger, et il s'en va. Il revient peu de temps après et je sens sur mon dos une caresses si délicate, subtile, et multiple, comment ne pas le reconnaitre... le martinet. "Tu sais ce que c'est ?" "Oui, Monsieur", "tu le veux ?", "oui Monsieur".  Il me remplit d'un gode, et toujours le croupion en l'air, la tête au sol, le martinet vient claquer doucement sur ma peau. Je sursaute un peu de surprise, j'avais oublié, ce que cela faisait.  Mais Monsieur, commence doucement, afin... que cela chauffe et s'irradie partout, sans trop fouetter. cela claque du bout des lanières. Puis, il me dit de me caresser, de jouir comme une salope, et j'aimerai oui, tellement. Il fouette, un peu plus fort, mais j'aimerai tellement que cela soit plus "brulant"... Puis, Monsieur s'arrête, me forcant par la même, à réclamer "encore, encore", dans ma tête ("par pitié, ne vous arrêtez pas, taper plus fort..."). Il me dit de jouir, et je jouis, très forts, avec le martiner qui me fouette les reins.

il me relève en tirant sur la laisse, me met à genoux, et me donne son sexe en bouche. je suce, aussi appliquée que faire ce peux. Puis Monsieur, prend l'initiative, et commence à me baiser la bouche, en appuyant sur ma tête. Son sexe s'enfonce à l'entrée de ma gorge. Je commence à avoir des haults coeur, mais que j'arrive encore à contenir... lorsque je sens, que je ne peux plus, heureusement Monsieur cesse. Je reprend ma respiration, j'ai une larme sous la paupière, mais Monsieur me demande si tout va bien, et je lui répond que "oui".  Il me laisse le reprendre ne bouche mais cette fois ci, comme je suis encore capable de le faire... il me dit que je suce bien. Et comme, je flattée du compliment, je m'active de plus belle.... mais, j'ai oublié quelque chose. De remercier le compliment. Monsieur me donne alors deux coups de martinez un peu plus tranchants sur les fesses en me disant "je vais t'apprendre à être polie". Et oui, j'aurai du remercier le compliment, mais je ne voulais pas le lacher de ma bouche...

Il m'ordonne ensuite, de me faire jouir, avec les jouets que j'ai apporter. j'écarte les cuisses, rentre en moi, mon jouet, et joue avec mon vibro sur mon clitoris... je pense que je n'arriverai pas à jouir alors, qu'il est là, qu'il voit tout... mais, le martinet claque un peu sur mon corps, sur mes cuisse, et Monsieur pose son pied sur ma gorge... et me demande de jouir, encore... et je jouis encore...

 

Puis, j'ai du mal à reprendre mon souffle, je sens que je commence à "partir". Monsieur, me propose alors de faire une pause, j'accepte avec reconnaissance, m'assoie à ses pieds pour boire et fumer une cigarette. J'aime ces moments de discutions "entre"... où cela nous rapproche.

Puis, le jeu reprend... Monsieur tire sur la laisse, et me pose les mains à l'étagère, le dos cambrés, les jambes écartées, les fesses offertes. Le martinet me caresse, et puis, claque, puis frappe, sur mes fesses, mes reins, mon dos parfois. Quelques fois sur mon sexe, mais, je supporte difficilement, et j'ai tendance à me dérober. Monsieur, insiste me dit de ne pas bouger, de me remettre en position. je me sens à sa merci (même si je ne le suis que par ma propre volonté) et cela m'excite, Il donne encore quelques coups sur mon sexe, pour faire bonne mesure, puis en reviens à ce que je préfère, les fesses, les reins, le dos. J'ai la peau qui chauffe, et pourtant, chaque coup, en appel un autre. Je le sens, mais sans vraiment le sentir. Plus il y en a, moins, il sont cuisants, il font juste partie d'un tout, comme une notes dans une partition qui termine la précédente, et dirige la suivante. Mon corps entier s'enflamme. Je me sens comme moi même. Je n'ai plus conscience d'un corps que je n'aime pas, ni de quoi j'ai l'air... c'est comme si, je me sentais fondamentalement connectée à moi même. J'ai mal, un peu c'est vrai, mais chaque coup, me rapproche un peu plus, d'un but sans fin. D'un puit, où il faut que je me retrouve. Non, je ne jouis pas, par la douleur, seulement, celle ci... me permet un détachement du monde, un complétude, une reconnaissance de moi même, une fusion de "moi" avec "moi", qui est inexplicable, salutaire et apaisante... et j'en veux toujours plus, un coup de plus, un peu plus fort... J'aimerai décoller, quitter pour de bon ce monde, pour m'enfoncer dans mes douceureux ténèbres... Monsieur calme doucement le jeux. Je me sens les fesses en feu. Je suis frustrée car je n'ai pas quitté, car je n'ai pas trouvé... mais, je lui suis reconnaissante de maitriser, de savoir arrêter, là où moi, je ne l'aurai peut être pas su...dans la spirale où je me trouvais, je n'étais plus maitresse de ma propre raison. Je ne sais pas s'il se doute de tout cela, à l'instant, où cela s'est passé. Je ne sais pas. Il pose le martinet sur mes reins semis cambrés, me dit de ne pas bouger, et de ne pas faire tomber le martinet, sinon, je le sentirai passer. Je me tiens comme une image. Même si j'ai les bras douloureux, et les jambes qui tremblent de facon incontrolable par moment, je me maintient comme je peux. Il revient, le martinet est toujours en équilibre sur moi. Je sens quelque chose de froid, de dur, me froler, me caresser, et passer sur mon sexe. "Tu sais ce que c'est ?"... hélas, je ne suis pas sure, rien de tel ne m'a jamais touché. Puis je comprend, c'est une cravache. "En veux tu ?"... oui, c'est toute la question, il faut que je mesure ma parole. "Oui, Monsieur". Cela claque doucement, sans grand élan au début, juste pour me laisser de le temps de juger. Puis, plus fort, petit à petit... cela est douloureux, autrement plus douloureux que le martinet. Je me rend compte que c'est très différent. le martinet fouette, mais reste une douleur diffuse, due aux nombreuses lanières. cela, est peut être plus... sensuel ?! La cravache, c'est une tige ferme, peu souple quand même. qui ne fouette pas, mais cingle véritablement. Sans parler de la languette au bout, qui claque, voir même pince. Oui, à la fin de ce moment, de cravache qui suit le martinet, Je me sens épuisée, et pourtant, j'en voudrai encore... J'ai les fesses qui chauffe, qui brulent, qui font mal... je n'en peux plus, et pourtant... Monsieur, me permet une pause. Pour que nous puissions boire, fumer, et nous reposer un peu... je n'aurais pas la prétention de m'avouer maso, car je ne jouirai probablement jamais sous les coups, quels qu'ils soient, sauf avec stimulation sexuelle en même temps, cependant, cela peut me conférer une telle liberté, un tel relachement, apaisement, bien être... en ce qui concerne la cravache, cela est un instrument bien agressif, qui est bien incisif, mais, j'ose dire qu'après un bon échauffement à la main, puis au martinet... cela peut quand même être acceptable, même si c'est plus douleureux, et moins plaisant pour moi, que le martinet.

après s'etre détendus, tranquillement, d'égal à égal pendant un temps salutaire dans un temps de jeu comme la Ds, il me semble, nous partons nous couchés.
cela fait si longtemps que je n'ai pas dormit avec quelqu'un... cela me fait tout drole de sentir un corps contre moi, une respiration, qui suit la mienne ou en est à l'unisson... j'espère que j'ai été à la hauteur ce soir. Je suis comblé, j'espère que Monsieur aussi, qu'il voudra encore de moi demain matin.

Au réveil, je retrouve Monsieur dans le salon. On fume une cigarette, il est encore si tôt. on discute un petit peu, je dois avouer, que j'ai un peu la tête chez morphé à ce moment là... on se retrouve au lit. Une partie de moi, s'étonne qu'il ne m'ait pas touché... l'ai je décue hier,et n'a t il pas voulu me le dire ? Mais très vite, une fois au lit... il empoigne ma main, la met sur son sexe, puis appuie sur mon sexe, que je le prenne en bouche, ce que je fais immédiatement, et du mieux que je peux à cette heure là... puis, Monsieur reprend son sexe en main, le caresse, puis m'appuie sur la tête, pas brutalement, mais fermement. Je prend donc ses bourses en bouches, comme j'aime le faire, car j'ai l'impression de manger l'homme tout cru à la racine même de ce qui fait de lui un homme... mais Monsieur appuie encore, et je me dis "Mais qu'est ce qu'il veut que je fasse, qu'attends t il de moi ?". Alors, je suis sa main qui appuie sur ma tête et je finit pas comprendre assez vite, mais je n'ai jamais fait ca... je ressens quelques petits plits de peau sur un anneau tout serré. je trouve cela mignon, même si je préfère la région "entre les deux". Puis, Monsieur me dit d'appuyer plus, de rentrer ma langue... je sens quelques fois un gout acre, amer, je ne suis pas sure d'aimer cela, mais Monsieur le veut, et je lui là pour lui (à moins que ca dépasse les bornes des limites, comme on dit). Je m'y essaie donc... encore et encore... mais, je perds le bon endroit, j'ai langue trop courte, je n'y arrive pas, m'étouffe, m'éssoufle, Monsieur s'impatiente... j'ai honte de ne pas y arriver. Monsieur serre les jambes autours de ma tête pour m'empecher de bouger, et m'assène quelques coups de cravaches qui ont failli me faire crier de surprise et de douleur, je me suis presque débattue cette fois ci, et pourtant, je m'y refuse... puis, il cesse et me dit "applique toi", je fais de tout mon coeur, je donne tout ce que je peux, mais je n'y arrive pas... je m'affaiblit, et j'abandonne quelques secondes. Je sens Monsieur, refermer ses jambes autour de mon coups, et j'imagine son bras saisir la cravache à coté de lui. Et moi, qui me refuse à supplier clémence, ou me débattre, je m'entends dire "non non non...".  Et j'ai honte de moi. Heureusement Monsieur, ne me donne pas plus honte, que je n'ai déjà en me faisant remarqué, et ne me punissant de supplier de la sorte. Il ne frappe pas et me donne une dernière chance. J'ai tellement crainte de ressentir le cinglement de la cravache, de ce matin, à vif (sans "préchauffage); que j'essaie de me trouver quelque part, une énergie nouvelle... et ca marche, car je m'entends dire "tu vois quand tu veux !". Et là, je me sens si heureuse, j'ai réussi. j'ai réussi ce qu'il attendait de moi, j'ai réussi, à le satisfaire, même si je l'avais jamais fait. J'espère m'améliorer avec le temps, et ne plus mériter la cravache pour une telle incompétence.

Monsieur, ensuite, me laisse, avec le collier et la laisse (que j'ai porté toute la nuit) puis me dit "tu sais ce qui se passe maintenant ?", je répond "Non, Monsieur". "Je vais t'attacher la laisse au montant du lit, et tu restera jusque environ 9h (il était à ce moment 5h10), et je pourrais venir ainsi te prendre ne bouche, te sauter, ou te fouetter, comme je veux". Encore une fois, je m'étonne moi même en répondant "oui, Monsieur". Me voilà attachée assez serrée, mais, de facon encore supportable au montant du lit. Monsieur ferme complètement les volets, afin que je sois entièrement dans le noir, et me dit "taches de dormir, cela m'amuse de plus de surprendre une soumise dans son sommeil, à tout à l'heure". Comment voulez vous dormis après cela... j'ai mit ce qui me semble une éternité à m'endormir. Puis tout d'un coup, une porte, un bruit, mon coeur saute un battement... je n'ose plus respirer. Mais non, c'est la porte de la pièce d'à coté. Je remets un temps fou à réguler ma respiration... mais je me recalme, finallement m'endors... combien de temps ? je ne sais. Tout d'un coup, je ne comprend pas, la couette vole, mes cuisses sont écartées, et Monsieur entre en moi, et me prend... Il me prend tantot doucement, tantot plus activement... Il me dit "ca te plait, hein, d'être prise comme une salope, comme ca ?", et je répond "Oui, Monsieur" entre deux gémissement, presque cris, si je ne me rentiens pas. Et mots déclenchants "oui, tu est ma salope, maintenant"... Le "Ma", a eu un poid, m'a apporté une satisfaction, un apaisement, un soulagement, je n'ai pas de mots... prémisse d'une apparenance probable qui fait vibrer mon être.

Nous déjeunons, toujours discutants de plein de choses.

Je me prépare, je dois rentrer...

Monsieur, m'embrasse devant la porte, et me ramène à ma voiture... le moment de partir arrive, et pourtant, j'aurai aimé prolonger cette nuit, encore.
en souvenir, une belle photo d'un bleu sur une fesse... et tout ce que j'ai pu ressentir et qui tourne encore et encore dans ma tête... je m'ennuie déjà.
on se promet de se revoir... Cela sera t il le cas ? où est ce une façon de ne pas être "emerdée" par l'autre, au moment de le quitter, et pis, après on ferme la discution, et on se retrouve seul, décue, et sans comprendre ?

Mais, peu après, petit texto de Monsieur "j'ai passé une excéllente soirée et toi, Eva ?". Sourir, s'il avait semblant pour se débarasser de moi, il aurait pas été assez bête pour m'envoyer un texto après...

cette après midi, discution msn... vous m'appelez Eva, pour la deuxième fois...

Eva, c'est le nom de soumise que vous souhaitiez donnez à la femme que vous considéreriez comme votre soumise. Je suis donc celle ci pour l'instant, et je l'accepte avec un grand honneur.

On verra, cela... vous m'avez donnez rendez vous vendredi soir prochain... j'en suis si heureuse que vous souhaitez me revoir... et m'avez demandez de réserver ma journée du samedi ? c'est déjà fait, je dois dire que curiosité est attisée, bravo !


Oui, c'est notre première soirée ensemble. Non, même si je me suis soumise, je ne porte pas votre collier. Et il faudra un peu plus de temps, pour en arriver là, je pense : au collier, et à ce que vous me permettiez de vous appeler Maitre...

et pourtant... je me suis sentie bien. Et pourquoi pas, avoir espoir en l'avenir, pour une fois ? Peut être que cette fois si, j'aurai raison d'y croire ?

Par Eva - Publié dans : Journal
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Commentaires

C est un très jolie récit qui démontre que les chose peuvent se passer parfois simplement...
commentaire n° :1 posté par : Eric le: 16/11/2008 à 18h51
Une naissance sublime... Des instants toujours trop courts... Mais un délice que vous nous offrez de Votre appartenance naissante... Merci à Vous... Tendrement à Vous
commentaire n° :2 posté par : MdesSens le: 16/11/2008 à 23h42
Cher M. Eric, cela me fait bien plaisir de vous savoir passé par ici ;) Cher Maitre des sens, je suis heureuse que ce nouveau blog vous plaise, ainsi que ce que j'y écris... Au plaisir de vous revoir passer par ici ;)
commentaire n° :3 posté par : Justine le: 17/11/2008 à 07h33

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