Hier soir, Monsieur, m’avait interdit de me donner du plaisir. J’ai difficilement obéi mais quand même, j’ai été sage.
Cela dit, cette nuit, mon inconscient a débordé sa frustration au cours d’un rêve, hum…
Je suçais Monsieur, puis celui ci, fit l’amour à ma bouche, en y allant lui même de son mouvement. Cela est assez difficile pour moi, car j’ai vite des hauts le cœur si cela va trop loin. Pourtant Monsieur, continue, quelque fois, il reste au fond de ma gorge, pendant quelques secondes. J’aime me sentir son objet. Monsieur se fait plaisir dans ma bouche jusqu’à ce que des larmes coulent le long de mes joues. Là, il s’arrête, me regarde me caresse le visage, et me dit qu’il est contente de moi, et que pour me récompenser, j’aurai le droit de me faire jouir.
Je suis donc allongée sur le dos, et je me fais plaisir avec mon petit vibromasseur à clitoris et mon gode. Monsieur est debout, le pied sur mon cou. Il n’appuie pas trop, mais assez pour que je sente une pression. Cependant, je n’arrive pas à me faire jouir, en tout cas, j’y met du temps, parce qu’il me regarde. Il me prend alors par les cheveux, et me met en position de soumission, et il me dit qu’il va finir de me faire plaisir. Il empoigne alors mon gode et me pénètre très fort et très rapidement, je ne met pas longtemps à arriver au bord de la jouissance, Monsieur le sait, et s’arrête net. J’en ai presque mal de frustration. Monsieur me reprend ainsi, et j’en suis reconnaissante, je me sens en feu, je n’en peux plus. Mais, encore une fois Monsieur recommence à ne pas me laisser jouir. Et il recommence ainsi encore deux fois, jusqu’à ce que je le supplie de me permettre de jouir. Monsieur s’amuse que je le supplie ainsi pour une telle chose, il me dit qu’alors, il va me faire jouire comme une chienne, la chienne que je suis, la sienne. Alors, il me reprend une dernière fois, sauvagement, mais, il me dit que j’ai intérêt à ne pas faire un bruit, il sait que cela m’excite, de ne pas avoir le droit de faire du bruit, car cela m’objectalise. Ma frustration et mon humiliation m’achève, je ne peux plus me contenir, et lorsque j’explose, je gémis de satisfaction (même si j’ai fait l’effort de ne pas crier).
Monsieur me fait la réflexion que je n’ai pas obéis, il me tire alors par ma laisse jusque la table et m’y colle le torse. Il me bâillonne, ainsi, cette fois ci je respecterai son ordre, dit il ?
Il prend la canne pour me punir. Quelques coups gentils, qui fouette à peine, puis qui prennent de l’ampleur, et j’ai l’impression que la canne me coupe carrément la peau. J’ai vraiment très mal. Je cri un peu, même à travers le bandeau. Monsieur, frappe maintenant, sans presque plus se retenir. Le seul effort qu’il me reste est celui de ne pas bouger, ce qui est très difficile, car maintenant, j’ai envie de me défiler après chaque coup. Monsieur m’enlève le bâillon en me disait qu’il veut m’entendre crier, mais que je commence à trop bouger (je ne m’en étais même pas rendu compte) alors qu’il va donc m’attacher. Et je suis là les mains attachées à l’autre bout de la table, la croupe offerte aux assauts de la cane. Monsieur frappe encore quelques coups, et je crie ouvertement maintenant, les larmes commencent à perler à mes yeux. Monsieur cesse. Il me détache, me relève, j’ai l’impression que ma peau est déchirée, je la touche, cela est très sensible, mais non, il n’y a pas de sang. Monsieur me prend le menton dans les mains, essuie mes larmes, et m’embrasse, comme pour montrer que la punition est finie, qu’il est fier de moi, qu’il m’aime.
Je me jette alors aux pieds de Monsieur, je pose ma joue sur eux, et m’y caresse doucement le visage, en le remerciant de s’occuper de moi, de me dominer, de m’aimer.
Aujourd’hui, j’ai le droit de prendre du plaisir autant que je veux, mais samedi, je n’ai pas du tout le droit de jouir (ça va être dur, mais j’aime être frustrée pour lui). Dimanche, cela reste à voir. Il décidera plus tard. D’un coté, je me dis qu’après une journée sans jouir, j’aimerai beaucoup qu’il me dise oui, je me sentirais soulagée, et en même temps, j’aimerai qu’il me dise non, pour me sentir plus frustrée (même si je suis pas sure de pouvoir obéir, même si j’essaye vraiment), de me sentir plus sous son contrôle, plus à lui.