Oups... ca fait deux, là non ?
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Rendez vous devant une Mairie, dans une ville inconnue.
Je ne suis pas très rassurée. J'ai même donné l'adresse de Monsieur (qu'il a bien gentiment proposer de me donner pour me tranquiliser) à mes parents et à une amie, au cas, où il n'y aurait plus
de nouvelles de moi...
GPS, qui n'a plus de son, qui m'indique une rue qui n'existe pas... je tourne, je vire, passe et repasse au même endroit plusieurs fois. Je regarde l'heure, c'est pas possible que je vais être en
retard, moi qui déteste ca, et arrive toujours en avance partout ! et Mer** !
Un homme m'indique bien correctement le chemin, je trouve le parking, mais où est la porte de cette mairie ?
Un message "te voilà"... Monsieur, m'a vu, mais où est il ? Je me retourne, et Il est là... Une bouffée de stresse me quitte. La crainte et l'excitation, ont réussi à me tenir dans état mi
désagréable, mi désir pendant plusieurs jours déjà. Je me dis que maintenant, que je lui plaise ou pas, au moins, on est au moment où je le saurai...
Que fait on ? Comme si nous ne le savions pas depuis des jours ce que nous allions faire ?
Nous nous retrouvons chez Monsieur. Je suis tellement à coté de ce qui se passe, que j'ai roulé tout feux éteints sans même m'en rendre compte.
Et maintenant, que va t il se passer ? Qu'est ce qui va bien pouvoir m'arriver ? Biensur, Monsieur est au courant de ce que je ne souhaite surtout pas, il sait aussi ce que je ne connais pas et
aimerait essayer.
Je ne peux m'empêcher de penser au moment où je me déshabillerai. Comment me trouvera t il ? Aura t il toujours envie de moi ? Moi, j'ai envie de lui, j'ai envie qu'il me domine, depuis que je
l'ai vu. Monsieur, me propose de boire quelque chose. Je suis rassurée, cela me laissera le temps de tenter de me trouver une contenance quelconque, et de ne pas paraitre trop sotte.
Mais finallement nous discutons. J'essaie de suivre la discution, et me demande encore maintenant, comment j'arrive à me concentrer
assez pour cela, même si je boierais littéralement ses paroles. Je me mesure les progrès que j'ai pu faire, depuis quelques années. Il n'y a pas si longtemps, j'aurai été aussi muette qu'une
tombe, et très mal à l'aise.
La seule chose qui me rend mal à l'aise là, c'est : quand est ce que ca va commencer ? Car nous savons tous les deux, pourquoi je suis là...
Puis lorsque je me sens à l'aise, Monsieur me demande "veux tu être ma soumise ce soir ?" et là, je réfléchis à ce que je vais répondre et à ce que ca implique, je prend le temps de dire
"oui" comme si je ne l'avais jamais dit de ma vie. Il meprend la main, et la pose sur son sexe encore lové sous le pantalon. Puis, il y pose ma tête... je le caresse de mes joues, de mes
mains. Je lui suis reconnaissante de me laisser ce temps d'adaptation, ni trop directe, mais suffisament quand même pour que je puisse me positionner dans la place que je tiendrais dans le jeu de
rôle que l'on jouera ce soir. Mais, sans m'en rendre compte, je m'enflamme, j'en veux plus, et je commence à mordiller le pantalon. Comment puis je me trouver dans cet état là ? L'attraction
irraisonné du sexe, existe t il chez les femmes de la même façon que chez les hommes ? Comment puis je être aussi peu farouche ! Mais "Attention de ne pas me faire mal" me dit Monsieur... et
pourtant, je semble incapable de me raisonner, j'ai pourtant l'impression de faire attention... je reçois une claque sur la joue. Je comprend que je suis en train de fauter. Cela me remet à ma
place, ce n'est pas parce que je suis excitée que je dois ne pas être à l'écoute de ce que Monsieur désire.
Monsieur libère son sexe du pantalon, puis de calecon. Je peux alors le caresser à mon aise, puis y mettre ma bouche. Pourvu que je fasse bien... je suce encore et encore, sentir ce sexe grossir
dans ma bouche, ne me donne qu'une envie, de le prendre en moi... Monsieur, se caresse, pendant que je goutte ses bourses, les deux dans la bouche, et que je joue avec en les tournants avec ma
langue.
Puis, Monsieur, claque des doigts, en me montrant le sol. Je m'agenouille donc à ses pieds, les yeux baissés. Il me demande si je vais bien, je répond que oui.
"tu est arrivée en retard"
"oui Monsieur"
"t'es tu excusée ?"
là... je me dis... oups... "Non, Monsieur"
" de combien de temps as tu été en retard"
là encore... oups "je ne sais pas, Monsieur"
"alors, non seulement tu arrives en retard, tu ne sais pas de combien de temps, et en plus, tu ne prend pas la peine de t'excuser ? que devrais je faire selon toi ?"
"je devrais être punie, Monsieur"
"alors installe toi sur mes genoux"
C'est la première fois que je vais être fessée. Cette position est terriblement humiliante. J'ai l'impression d'être une gamine, je me sens rabaissée. Monsieur me caresse les fesses, et claque
une fois, chaque fesse. Cela me fait tressaillir, je ne pensais pas que ca claquerai si fort, une main. Monsieur s'arrête et me demande comment je me sens "je lui dit que j'ai honte"... "Honte de
quoi ?"... "Honte d'être excitée Monsieur". Et Il claqe plusieurs fois chaque fesse, je ne me débat pas, mais c'est limite. Par uniquement douleur, ou honte surtout... je ne sais pas. Mais s'il y
a pire comme douleur, au niveau humiliation, on peut difficiliment faire mieux...
Lorsque Monsieur finit de me fesser, cela n'a pas durer longtemps, mais je me sens les fesses brulantes. Il caresse mon entre jambe, et voit comme je suis mouillée...
Il me demande de me mettre en position de soumission afin de me prendre. Et quel soulagement de le sentir enfin en moi. Je le désirais tant, être remplie de lui. Puis, il se retire, et me laisse
pantelante, de plaisir, de désir, encore...
Puis, il m'ordonne de ne pas bouger, et il s'en va. Il revient peu de temps après et je sens sur mon dos une caresses si délicate, subtile, et multiple, comment ne pas le reconnaitre... le
martinet. "Tu sais ce que c'est ?" "Oui, Monsieur", "tu le veux ?", "oui Monsieur". Il me remplit d'un gode, et toujours le croupion en l'air, la tête au sol, le martinet vient claquer
doucement sur ma peau. Je sursaute un peu de surprise, j'avais oublié, ce que cela faisait. Mais Monsieur, commence doucement, afin... que cela chauffe et s'irradie partout, sans trop
fouetter. cela claque du bout des lanières. Puis, il me dit de me caresser, de jouir comme une salope, et j'aimerai oui, tellement. Il fouette, un peu plus fort, mais j'aimerai tellement que cela
soit plus "brulant"... Puis, Monsieur s'arrête, me forcant par la même, à réclamer "encore, encore", dans ma tête ("par pitié, ne vous arrêtez pas, taper plus fort..."). Il me dit de jouir, et je
jouis, très forts, avec le martiner qui me fouette les reins.
il me relève en tirant sur la laisse, me met à genoux, et me donne son sexe en bouche. je suce, aussi appliquée que faire ce peux. Puis Monsieur, prend l'initiative, et commence à me baiser la
bouche, en appuyant sur ma tête. Son sexe s'enfonce à l'entrée de ma gorge. Je commence à avoir des haults coeur, mais que j'arrive encore à contenir... lorsque je sens, que je ne peux plus,
heureusement Monsieur cesse. Je reprend ma respiration, j'ai une larme sous la paupière, mais Monsieur me demande si tout va bien, et je lui répond que "oui". Il me laisse le reprendre ne
bouche mais cette fois ci, comme je suis encore capable de le faire... il me dit que je suce bien. Et comme, je flattée du compliment, je m'active de plus belle.... mais, j'ai oublié quelque
chose. De remercier le compliment. Monsieur me donne alors deux coups de martinez un peu plus tranchants sur les fesses en me disant "je vais t'apprendre à être polie". Et oui, j'aurai du
remercier le compliment, mais je ne voulais pas le lacher de ma bouche...
Il m'ordonne ensuite, de me faire jouir, avec les jouets que j'ai apporter. j'écarte les cuisses, rentre en moi, mon jouet, et joue avec mon vibro sur mon clitoris... je pense que je n'arriverai
pas à jouir alors, qu'il est là, qu'il voit tout... mais, le martinet claque un peu sur mon corps, sur mes cuisse, et Monsieur pose son pied sur ma gorge... et me demande de jouir, encore... et
je jouis encore...
Puis, j'ai du mal à reprendre mon souffle, je sens que je commence à "partir". Monsieur, me propose alors de faire une pause, j'accepte avec reconnaissance, m'assoie à ses pieds pour boire et fumer une cigarette. J'aime ces moments de discutions "entre"... où cela nous rapproche.
Cette relation Ds, qui se profile, et me promet d'enfin pouvoir explorer mes fantasmes et de mettre un pied dans la réalité (ce qui n'étais pas arrivé depuis si longtemps) comporte quelques
règles, qui restent très symples, et dont, je voudrai tout d'abord faire part ici...
Mes limites au jeu :
- zoophilie (immuable)
- scatophilie (immuable)
- prêt, vente (immuable)
- exhibition (tout dépend de quoi on parle mais... immuable)
- sodomie (vouée à être dépassée)
- mener à terme une fellation (vouée à être dépassée)
- fellation profonde (vouée à être dépassée)
C'est tout ce que je sais de mes limites pour l'instant, mais au fur et à mesure de mes découvertes, il est certain que cette listes changera, sauf les immuables. Certaines seront dépassées et
disparaitront de la liste, d'autres se rajouteront...
Les règles de soumission :
Les règles auquel Monsieur ordonne que j'obéisse, pour l'instant :
- me présenter toujours accessible (jupe, robe...) et lisse
- baisser les yeux, pendant tout le temps du jeu
- le nommer Monsieur
- et obéir (dans le respect de mes limites) cela va de soi.
Je pense également, que ces règles ne sont pas figées, et évolueront en fonction de la relation qui se tissera entre Monsieur et moi.
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