Eva-naissante

Mon ex, avait prit du temps à m'apprendre à bien le sucer. lorsqu'il me demandait de le faire, il m'expliquait en même temps, ce qu'il voulait, voir même me guidait physiquement. je ne le prenais pas jusqu'au bout de la longueur dans ma bouche, et je le branlais en même temps avec ma main... je réussissais à le faire jouir (mais pas dans ma bouche) de cette facon, à la fin, et il me disait que je le sucais vraiment bien, et que je pourrais faire craquer n'importe quel mec... et moi, j'étais hyper fière.

Seulement, voilà, avec Monsieur tout est différent, il n'aime pas les mêmes choses, et le modèle que je connais ne le satisfait pas totalement. Je suppose qu'il s'en contente pour l'instant, mais cela ne le fait pas sauter au plafond...

il aimerai sans la main, mais... je me sens perdu si je ne tiens pas le sexe de l'homme, et puis, cela me donne un support et m'aide beaucoup.

Il aimerai plus profondément en bouche mais... les haults le coeur arrivent tout de suite, et je n'arrive pas.

Il aimerai jouir dans ma bouche et cela... pour l'instant, ca m'est impossible. Tout d'abord à cause d'un vécu difficile qui fait que je bloque vis à vis du sperme, ensuite, parce que je déteste le gout aussi tout simplement. alors, il est sure qu'avec patience, au fur et à mesure de notre relation... avec assez de tendresse et de fermeté, je pourrais peut être dépasser mon blocage... pour ce qui est du gout, et bien, si je n'aime toujours pas, on pourra toujours considérer cela comme une punition, je ne sais pas. Mais, même s'il faudra un peu me forcer la main au début, sinon, je ne dépasserai jamais bon blocage, il faudra vraiment que cela fait "correctement", sinon, ca renforcera mon blocage. je ne veux pas sentir "violée" là dessus, même si paradoxalement sur d'autre pratiques, je ne suis pas fermé contre "me sentir" ainsi (je n'ai pas dit être violée pour de vrai, ca va de soi).

j'aimerai vraiment plaire à Monsieur avec ma bouche. être satisfaisante pour lui... mais y arriverai je un jour... et si je n'y arrive pas, j'aurai le sentiment d'être mauvaise, et de le priver de quelque chose qu'il mérite, mais que je ne peux pas lui donner...

demain soir, je retrouve Monsieur, je passe donc avec lui, la soirée, la nuit, et la journée, jusqu'à ce qu'il ne veuille plus de moi.

seulement, je serai punie.

La dernière fois, je lui ai mentit. Je lui ai avoué la vérité, peu de temps après mais pas de face à face. Il s'agissait de parler de quelque chose de délicat pour moi. Je n'ai pas mentit, parce que je ne voulais pas qu'il le sache. J'ai mentit, parce que je n'arrivais pas à le dire, et parce que le contexte... ne me mettais pas à l'aise pour en parler.

Et bien, que je trouve que ce dont il s'agissait et le moment où j'aurai du en parler, soient des circonstances atténuantes, Monsieur, estime que je dois être punie pour le mensonge. Ce en quoi, je suis d'accord avec lui. Je ne dois pas lui mentir... Il me fait confiance, et je dois faire de même. Et s'il pose des questions, y répondre la vérité, même si je dois parler de quelque chose de blessant... ce n'est que comme cela, qu'il saura comment agir avec moi, car il me connaitra mieux.

pour en revenir à la punition...

Initialement, Monsieur m'a demandé de la choisir. je dois dire, que je n'ai aucune idée de ce que je mérite pour mon mensonge. je mériterai d'être sévèrement punie pour avoir mentit, et en même temps, je n'arrive pas à me punir sévèrement car... pour moi, j'ai des criconstances atténuantes. je pensais à la cravache, parce qu'après les quelques coups du dimanche matin, le week end dernier, je la craint vraiment... et pensais à quatre coups sur chaque fesses, donc 8 au total... c'est ce que j'ai proposé à Monsieur. Evidement, je propose, il décide.

voilà ce qui a été décidé :

lorsque Monsieur jugera bon de me punir, j'irai chercher la cravache moi même, et la lui présenterai. je prendrai la position de punition adéquat ( pour la première fois, il faudra qu'il me l'explique), et j'attendrai qu'il me punisse.

Monsieur souhaitee 8 coups, sur chaques fesses. Sans que mes fesses soient rougies et travailler par un autre outil avant. donc, directement, à froid. je dois dire que si cela ressemble à ce que j'ai eu dimanche matin dernier... au bout de trois coups sur chaque fesse, j'étais limite en larme, en train de supplier, alros là... ca fait 16 au total !!!

oh, je sais j'ai l'air d'une bien pietre soumise, à être au coup prèt, a compter, et à appréhender une punition qui peut paraitre bien gentille aux yeux de certains.

Cela sera une grande première. Une épreuve. Pour plusieurs raisons.

- tout d'abord, c'est la premièr fois que je vais être réellement punie. et je ne sais pas ce que cela me fera psychologiquement.

- ensuite, aller moi même chercher la cravache, la donner à Monsieur, et attendre dans la position, qu'il me punisse... cela va me demander beaucoup. Parce que je crains cette punition, je me sens déjà fébrile rien que d'y penser, alros faire cela, sera une grande marque de confiance, d'acceptation... de soumission. Une véritable... soumission. Là où je serai soumise mais même pour quelque chose de douloureux, qui ne me fait pas forcément du bien...

- et pour finir, au niveau de la douleur tout simplement. pourrais je supporter ? sans crier, sans pleurer, sans supplier ? ou serais je obliger de prononcer le "Mot" ? mon dépit, ma déception de moi même, et la peur de ne pas mériter Monsieur sera alors pour moi une punition peut être pire encore, en fait, ce sera pire, je le sais mais... pourrais je ne pas prononcer le "Mot" ? ne pas être ridicule... en fait, pour être honnete, j'ai tellement peur d'avoir trop mal, que je m'enfuirai bien volontier... mais paradoxalement, je dois être punie, alors je dois me conformer à ma punition, et une petite parcelle de moi est excitée... par le principe en tout cas. On verra, dans la réalité de la douleur, cela risque d'être bien différent. En tous les cas, je ne pense qu'à ca...

Monsieur, me disait cette après midi, que "oui, c'était fait exprès pour que cela soit une épreuve, et qu'il me faudra être courageuse"... je dois dire que le coté théatral de la déclaration me plait, mais, cela n'est pas fait pour me rassurer... je ne sais pas à quoi m'attendre exactement, et je déteste ca, et essayer d'imaginer, me fait peur alors... je n'ai plus qu'à attendre, je suppose, et à faire confiance à Monsieur, pour qu'il sache doser une douleur punitive certe, mais pas assez fort pour que je lui demande d'arrêter, j'espère.