J'aime les longues manches qui flottent, et j'aime le coté "arachnides"...
En filigrane : link
J'aime les longues manches qui flottent, et j'aime le coté "arachnides"...
Après une petite discution avec Monsieur ce matin... Je me suis rendue compte qu'il y a un certain nombre de choses que j'ai "oublié" de relater dans ce post...
premièrement,
le couloir... samedi matin, je sais que Monsieur est levé, je m'autorise donc à aller aux toilettes, puisque je ne le réveillerai pas. Je me lève doucement, je suis un peu fatiguée, mais surtout "à coté" de moi même. Monsieur ouvre la porte donnant sur la couloir, et me fait sursauter, comme pas permit, et sur le moment, j'ai eu vraiment peur, je ne m'y attendais pas du tout... Monsieur me demande où je vais, je dis la vérité "je vais aux toilettes". mais il appuie sur ma tête, me signifiant qu'il veut que je prenne son sexe en ma bouche... Je dois avouer que je suis un peu surprise, mais je le fais avec plaisir. ensuite, il me retourne et me plaque contre le mur... j'adore ca, parce que je me sens utilisée, et là pour son plaisir (et lorsque je dis "utilisée", c'est sans connotation négative, c'est que j'aime...). Seulement, je ne m'attendais pas à ce que Monsieur essaie de profiter de moi par "ce qui est encore si difficile de me prendre, de m'arracher". néanmois je le laisse faire (même si j'ai envie d'uriner, et que je crains de ne pouvoir me retenir, même si je sais que le matin est en général le moment où je suis le plus sale par cet endroit là, même si j'ai tellement peur de souffrir...), Je laisse Monsieur, appuyé son sexe sur mon anus. Et une partie de moi aimerai qu'il prenne mon cul, je ne sais pourquoi, mais cela peut m'exciter, d'une certaine facon. mais, cela est impossible. Je pense que la position n'était pas la meilleur, les conditions non plus. Me prendre ainsi demandera de la patience, un travail de dilatation, du lubrifiant, un préservatif (sinon, je ne me laisserai pas faire)... enfin pas quelque chose fait de facon aussi... improvisé, même si par la suite, je pense que j'aimerai, tout comme j'aime que Monsieur me prenne quand bon lui semble.
Monsieur me dit, que l'important pour lui dans ce qui s'est passé dans le couloir, c'est que je me sois laissée faire. C'est vrai que lorsque je l'ai laissé faire, je pensais qu'il me prendrait par mon orifice qui lui est le plus offert. mais, lorsque j'ai senti qu'il prenait l'autre, je me suis dit "détends toi, laisse faire, tu le veux, seulement ton corps réagit à l'opposé de ton corps, c'est comme les coups de fouet ou de cravache, détends toi, acceptes... et cela deviendra plaisir, De toute facon, si jamais je souffre, que tje dis stop, il s'arrêtera. plusieurs choses le prouve (même si "on ne sais jamias), mais... je lui fais confiance". Ce n'est pas parce que je souhaite le satisfaire, que je dépasserai mes limites trop vite. Lorsque je dis "prenez moi par où il vous plait", cela signifie "je vous laisse le libre de choix de la sodomie, mais je vous fais confiance pour le faire de facon respecteuse et assez tendre et adapté à mon inexpérience pour ne pas me faire souffrir, en dernier recours, je vous fait confiance pour arrêter si je dis "stop". et je pense que, Monsieur, à parfaitement, entendu ce que cela signifiait.
deuxièmement,
en ce qui concerne la sodomie... ce qui est, d'après ce que j'ai cru ressentir (et aussi d'après la discution avec Monsieur, et qu'il a dit lui même), son rapport préféré... et bien c'est vrai qu'une partie de moi à peur (entre d'autres peurs : trop douloureux, trop sale...) qu'une fois qu'il aura gouté à mon cul, ma chatte ne l'intéresse plus... même si je pense qu'il est assez bon pour prendre ne compte mon plaisir, et là ou j'en tire, et me donner tout de même mon plaisir... j'ai peur que cela deviennet trop "présent" et de me sentir moins satisfaite aussi... j'avoue (honte).
troisièment,
dans le temps que nous avons passés ensembles ce week end dernier... j'ai eu peur. s'il ne m'avait pas demandé "ce que je veux", Il ne m'aurai peut etre pas prit comme j'aime (d'ou mon angoisse aussi, une fois qu'il y aurai sodomie), j'ai du lui demander pour qu'il me prenne en position de soumission. l'aurait il fait si l'occasion de lui demander ne s'était pas présenter... alors que pourtant, il m'a dit "tu ne partira pas non pénétrée à moins que je sois vraiment très mécontent de toi..." . alors que dois je en penser ???
quatrièment,
ce week end où 'lon s'est vu... Monsieur, ne m'a pas fait porté de collier ou de laisse. Je ne parle pas de Notre collier, de Notre laisse, car je peux comprendre que cela demande du temps, c'est normal, ce n'est pas un symbolisme à prendre à la légère, Mais lorsque je me sens soumise, j'aime porté quelque chose qui me dédouane d'être ainsi. Comme un costume pour comédien. enfin, ce n'est pas vraiment un costume puisque c'est une partie réelle de moi, mais... cela fait partie intégrante de ce jeux, que j'aime tellement et qui me permet de m'exprimer d'une autre manière... alors, pourquoi n'ai je pas eu droit au collier cette fois ci, et à la laisse ? ou même à la ceinture autour de mon coup ? je ne sais pas, je ne pense pas que cela ait été une punition...
cinquièment,
Il me dit qu'il aimerai m'initier (comme j'aime ce terme "initier", peut être que je ferais un post sur le pourquoi du comment) à l'uro. J'ai eu peur, parce que je ne me sens pas capable d'assumer de boire ou tout ca... mais il me dit qu'il sera progressif, et que le premier pas sera la pluie dorée, que moi j'appelle "douche dorée". cela est resté un fantasme pour moi, parce que c'est (en ce qui me concerne) : "très humiliant, mais j'aime l'humiliation jusque certaine limite, et que c'est en quelque sorte marquer sont territoire;..". Donc si Monsieur, m'urine dessus, pour moi s'est très important. c'est que je serai marquée de lui, je porterai son empreinte. J'attends donc qu'il ne le fasse pas uniquement pour se faire plaisir, mais qu'il prenne ne compte la dimension d'appartenance que cela peut avoir pour moi. presque comme un collier, peut être.
voilà, d'autres considérations suivront peut être... mais il est vrai que lorsque j'écris le dimanche ma note sur la soirée de vendredi soir, la nuit, et le samedi matin (et j'espère que cela sera plus long, s'il le souhaite), je suis encore sur mon nuage, j'ai du mal à ordonner tout ce que j'ai à dire, et j'en oublit beaucoup.. .cela ne veut pas dire que je n'ai pas savourer chaque instant passés avec Lui... mes sentiments, ma passions, ma raison... tout s'entremèle, comme la déferlante sur une digue...
Petite parole, tirée d'une lecture sur le net sur la correspondance de Monsieur le Marquis...
"Apprenez que c'est le point où l'on est qui rend une chose bonne ou mauvaise, et non pas la chose en elle même".
"Quand on a un cheval trop fougueux, on le galope dans les terres labourées; on ne l'enferme pas à l'écurie" (hum... comme j'aime la métaphore ;) )
"Ce n'est point ma façon de penser qui a fait mon malheur, c'est celle des autres".
Nous sommes dimanche 23 novembre 2008, il est 11h49 et...
voici les premiers flocons. Ils ne tiendront pas, mais c'est magnifique de les regarder valser dans les airs, jusque toucher le sol et s'évanouir.
ils méritent bien un voeu !
Nouvelle rencontre avec Monsieur. Une semaine c'est écoulée, mais qu'elle était longue...
par où commencer ce récit, comment ordonner mes propos ? je suis encore sur mon petit nuage.
Tout d'abord, on a bu un verre en discutant. Puis, Monsieur à voulu que le prenne dans ma bouche. Je pense qu'il y a encore du chemin à faire, mais je crois que je m'améliore. j'arrive à le prendre plus loin, même, si cela m'est parfois difficile. et je l'ai même gouté. Même si c'est bien loin de ce que j'espère un jour, pour lui et moi... "tout vient à point à qui sait attendre" non ? ou alors "doucement mais surement" aussi ;)
Ensuite, vint le moment de ma punition. j'ai été cherché la cravache sur le lit. je ne sais pas si cela c'est vu, mais mes mains tremblaient un peu lorsque je la tenais. j'étais sure que je ne résisterai pas. je me suis mise en position, en essayant de me détendre un maximum, mais cela m'était plutot difficile, tiraillée entre excitation et crainte que j'étais...
Monsieur, à voulu que je compte. cela ne me dérange pas, si ce n'est que ca m'empeche peut être un peu de "partir". Les premiers coups, m'ont fait assez mal, les derniers aussi d'ailleur ;) Cependant, je n'ai pas crier, ni pleurer, ni bouger, comme je m'attendais à le faire. Je pense que Monsieur, a quand même mesurer un peu ses coups. Moralité, je suis partagée entre "si je n'ai pas crier c'est que c'était pas assez fort" (en même temps, si j'ai le fantasme de crier un jour, je crois que je n'aimerai pas), et... "c'était déjà assez fort comme ca, et je n'aurai peut être pas supporter plus" (parfois il fallait même que je reprenne mon souffre avant de donner le compte)... ? qui sait ?
En tous les cas, il est certain que ma préférence pour le martinet est maintenant certaine. la cravache est un instrument plus brutal et moins sensuel... mais... je l'aime aussi, moins, mais elle me manquerait si elle disparaissait...! Une chose aussi que je lui repproche, c'est qu'elle fait des bleus et pas, de jolies zébrures rouges...
en quelques coups (16)...
juste après
au matin, forcément, c'est... Le Grand Bleu ! (est ce que j'ai les fesses doulouses, et est ce que je choisis des surfaces moelleuses pour les poser doucement... oui, j'avoue, et j'aime assez l'idée de garder des traces... de lui, de ces moments ;) )
Nous avons passé, une très bonne fin de soirée, et une excellente nuit. j'aime beaucoup m'endormir auprès de lui. j'aime entendre sa respiration qui couvre la mienne, qui me berce...
ce matin au réveil... J'ai prit Monsieur en bouche, est essayant de faire de mon mieux. Il souhaitait que le léche son anus, ce que j'ai fait, du mieux que je pouvais aussi, parce que la cravache sur mes fesses, m'aurait fait sauter au plafond pour de vrai... mais, il a eu l'air assez satisfait. Ensuite, je l'ai pénétré d'un doigt. j'avais peur de lui faire mal, et je ne savais pas trop comment faire. c'était une impression étrange, mais pas désagréable. et Monsieur, avait l'air content.
Monsieur a essayé de me sodomiser, mais... je suis vraiment trop étroite, et, il n'a pas réussit. Je n'y peux rien dès que je sais où que je sens qu'on en vient là, je me tend, et je me contracte empêchant tout passage. Pourtant, j'ai moi même donner mon accord à Monsieur, pour essayer. Il n'a pas essayer de me forcer, et pourtant, je me contractais encore. Il l'a vu, m'a demandé si j'avais peur, et j'ai du avouer que oui, que j'avais peur d'avoir mal. Monsieur, a arrêter. je l'en remercie. Mais... y arriverai je un jour ? pourquoi avec moi ca ne marche pas ?
Nous avons été faire quelques courses en ville. Qu'il est plaisant de marcher à ses cotés. De ne pas être cachée. Et de partager des petits moments hors Ds... Je suis fière d'être prêt de lui.
Après avoir reprit Monsieur en bouche, il me demande ce que je souhaite. Je lui propose alors de me prendre en position de soumission, ce qu'il fait. Et... c'était délicieux ! j'adore ca !
Il me dit qu'il est à mes ordres, de lui dire ce que je veux... c'est une impression étrange, "à mes ordres", je me sens toute perdue. qu'est ce que je veux ? Il me faut réfléchir, parce que normalement, ce n'est pas à moi de décider de ce que je souhaite... mais, je ne réfléchis pas bien longtemps. c'est lui que je veux, lui avec ses multiples filles... le Martinet. Monsieur me demande où je le veux ? j'avoue que je n'ai pas eu le culot d'oser dire sur les fesses... mais dans le dos oui.
j'aime assez dans les reins aussi, mais dans le dos également. Monsieur commence doucement, mais amplifie le geste. Cela commence à être douloureux. mais cela commence à être bon. Lorsque je sens quelque chose en moi qui "craque", et qui s'abandonne... qui ne lutte plus contre la douleur, qui la laisse juste m'envahir.
Monsieur me demande si je supporte sur les seins... à vrai dire, je ne sais pas trop, je n'ai jamais eu l'occasion de le savoir. je me place dos au mur, mains sur la tête et attends, Monsieur. je dois dire que c'est surprenant, peut être moins douloureux que ce à quoi je m'attendais, mais quand même plus que les fesses ou le dos. c'est plus sensible. Sur les derniers coups, je me retenais de ne pas gémir. sur les seins, cela me fait mal, mais ne me fait pas complètement "décoller".
Monsieur demande si je supporte sur le sexe. là, je crois que non, mais je veux tout de même essayer. C'est déjà limite supportable à l'intérieur des cuisses, mais sur le sexe... c'est très dur. Monsieur donne quelques coups. jusqu'à ce que je ferme les cuisses dans un mouvement instinctif après l'un deux. Monsieur arrête.
Je le prend un peu en bouche, le goute un peu. puis, Il me met la tête entre ses genoux, et se caresse en continuant de me fouetter le dos, jusqu'à ce qu'il jouisse, et que je sente sa semence comme apaisante sur mon dos tout fouetté.
J'ai des marques... petites. Elles sont parties peu de temps après, elles m'ont quitté. On a même pas prit mes marques sur les seins et les cuisses, elles étaient presque inexistantes. Mais, même dans le dos, j'imaginais de grandes marques, au vu de la douleur, et de la force des coups mais... (soit, je marque facilement et c'est des gros bleus, soit, les marques ne dures pas...)
Je dois dire qu'en ce qui concerne la douleur, je m' étonne un peu moi même. Biensur, je suis encore une petite joueuse par rapport à d'autre, mais... je ne pensais pas supporter autant. Les seules fois où j'ai connu le martinet, j'avais aimé, cela me stimulais, mais ne me fesait pas réellement mal. La ca me fait mal, même parfois, très mal, et pourtant, non seulement, je supporte (parce que je veux me dépasser moi même, et supporter pour supporter, en quelque sorte) mais en plus, j'y prend une forme de plaisir. Comme je l'ai dit, cela m'étonnerai qu'un jour je jouisse sous le martinet ou la cravache, mais... j'aime l'impact, puis la brûlure qui reste, puis l'apaisement qui m'envahit lorsque cela s'arrête. apaisement, proportionnel à l'amplitude des coups.
et lorsque je me sens partir... j'ai l'impression de m'envoler. Je ressens alors les coups, mais... de facon plus distante. Ils m'enivrent... c'est ca que j'aime. je me laisse aller, je m'ouvre à la douleur, et je plane. c'est ca que j'aime, et lorsque cela s'arrête, je me sens détendue, apaisée, satisaite... comme après un orgasme presque ! cela dit... je ne "pars" pas à chaque fois à ce point là.
Merci Monsieur, de me faire découvrir tout cela. Merci de me donner tout cela. J'espère que vous avez passé une soirée aussi agréable que la mienne. Un jour, je serais en mesure de vous satisfaire totalement...
Le week end prochain, je travaille. Je ne vous verrai pas. Vous allez me manquer... (mais mes fesses auront le temps de retrouver leur couleur normale ;) )
PS : je suppose qu'après le bleu que j'ai sur les fesses, plus personne ne doutera de la "réalité" dont j'ai besoin, et que les commentaires médisants de certains me taxant de "fantasmeuse" n'auront plus lieu d'être. Je n'étais pas "fantasmeuse", juste... sans expérience, et sans personne pour m'en donner.
Décembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | 31 | |||||||||
|